Maisons d écrivains

Rudyard Kipling

632 Apr

 

 Les livres de Rudyard Kipling

 

 

Le livre de la jungle

 

633 Apr

 

Recueilli et élevé par des loups, un jeune garçon fait l’apprentissage de la vie au milieu des animaux de la jungle. Guidé par la panthère Bagheera et par l’ours Baloo, le petit homme, maintenu dans l’ignorance du danger qui le guette, fera d’incroyables rencontres : de la troupe des singes Bandar log à la compagnie d’éléphants du vénérable Hathi. Son retour à la compagnie des hommes sera semé d’épreuves face au menaçant Shere khan et Kaa, le serpent hypnotiseur. Mowgli échappera-t-il aux pièges qui lui seront tendus ?

 

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Histoires comme ça

 

634 Apr

 

Comment la baleine eut un gosier, comment le chameau eut une bosse, comment on écrivit la première lettre et comment il s’en suivit la naissance de l’alphabet… À travers le regard tendre et érudit de Rudyard Kipling, découvrons comment le monde est devenu monde, et pourquoi le chat, lui, va tout seul.

 

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Tu seras un homme mon fils

 

635 Apr

 

Tu seras un homme mon fils, l’un des plus, célèbres poèmes de la littérature, est enfin réédité. Ce poème qui magnifie l’enfance et exalte l’autonomie et la droiture est suivi des lettre qu’échangèrent Kipling et son fils John alors que ce dernier était au front en 1915. Il y trouva la mort quelques semaines avant ses dix-huit ans. L’ensemble exprime avec une grande émotion les espoirs, l’inquiétude et finalement l’impuissance d’un père vis-à-vis de son fils.

 

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Kim

 

636 Apr

 

Les foules de l’Inde victorienne, ses gares, ses trains surpeuplés, ses routes poussiéreuses… Le racisme, la ségrégation, le colonialisme brutal d’un Empire au faîte de sa puissance… Voix, langues, castes et religions mêlées comme dans une rumeur d’océan… Kipling, à 35 ans, se replonge dans ses souvenirs d’enfance, avec tendresse et nostalgie. Pas à pas il suit la quête initiatique du jeune Kim et de son guide, vieux lama dont la simplicité d’esprit confine à la sagesse absolue : quittant son monastère et ses neiges inviolées, il est parti à la recherche du fleuve qui lave de tout péché. Route longue et tortueuse parfois, entrecoupée de rencontres et d’embûches, dont Kim le protège : vif et malicieux, la langue toujours bien pendue, partout il se glisse, interroge, déjoue les pièges, et peu à peu se rapproche, lui aussi, de la vérité. Quelle vérité ? Celle de Bouddha peut-être, ou bien celle de son coeur, qui bat au rythme d’une Inde majestueuse, fascinante et profondément humaine.

 

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L’homme qui voulut être roi

 

637 Apr

 

« Il fouilla dans l’épaisseur des loques qui entouraient sa taille tordue, retira un sac de crin noir bordé de fil d’argent, et en secoua sur la table la tête desséchée et flétrie de Daniel Davrot ! Le soleil matinal, car depuis longtemps les lampes avaient pâli, frappa la barbe rouge, les yeux aveugles dans les orbites creuses, de même que le lourd cercle d’or incrusté de turquoises brutes que Carnehan plaça tendrement sur les tempes blêmies.- Vous contemplez maintenant l’empereur en son appareil ordinaire, comme il vivait – le roi du Kafiristan avec la couronne en tête. Pauvre vieux Daniel qui fut monarque une fois ».

 

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Le second livre de la jungle

 

638 Apr

 

– Regardez-moi.Ils le regardèrent avec malaise ; puis, comme leurs yeux fuyaient les siens, il les provoqua de la voix, les rappelant et les rappelant encore, jusqu’à ce que sur leur corps tout leur poil se hérissât et qu’ils tremblassent de tous leurs membres, tandis qu’il les fixait de plus en plus tenacement : – Maintenant, dit-il, de nous cinq, qui est le chef ?- Tu es le chef, Petit Frère, dit Frère Gris.Et il lécha le pied de Mowgli.

 

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Tatou-tatou

 

639 Apr

 

A première vue, un hérisson est très différent d’une tortue, et une tortue n’a rien à voir avec un hérisson. A bien y regarder, ces deux animaux ont tout de même un point commun bien pratique: face aux prédateurs, ils savent se protéger, en boule ou sous leur carapace. C’est un jaguar qui en fera les frais. On savait que l’union faisait la force, mais apprenez maintenant grâce à cette histoire que l’union… fait les tatous.

 

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Dans l’intérêt des frères : Nouvelle maçonnique

 

640 Apr

 

Écrite en 1917, publiée tout d’abord en Angleterre dans The story-teller magazine et aux USA dans le Métropolitan de décembre 1918, la nouvelle In the interests of the brethren (Dans l’intérêt des frères) a été intégrée en 1926 aux quatorze récits du recueil Debits and Credits, précédée du poème Banquet Night (Nuit d’Agapes). Cette nouvelle nous conte l’histoire d’une rencontre dans le sud de Londres en 1917 : celle du narrateur avec Lewis Holroyd Burges, marchand de tabac. Ce gentleman a perdu son fils à la guerre et il occupe la chair du Roi Salomon, c’est à dire la présidence, dans la loge Faith and works 5837, E-C. Pour la compréhension du texte, Pierre Gauchet fait une présentation de Rudyard Kipling franc-maçon, suivie de notes et de deux annexes qui éclaireront la nouvelle et le poème.

 

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Capitaines courageux

 

641 Apr

 

– Hum, dit l’homme au menton rasé, je ne peux pas dire que nous pensions rien de bien fameux d’un homme, ni même d’un jeune garçon, qui tombe par-dessus bord d’un paquebot comme celui-là par le calme plat, et encore moins s’il donne pour excuse qu’il avait le mal de mer. – Excuse ! s’écria Harvey. Croyez-vous que c’est pour plaisanter que je suis tombé par-dessus bord dans votre sale petit bachot ? – À votre place, je n’insulterais pas le bateau qui, la Providence aidant, a été l’instrument de votre salut. En premier lieu, c’est un sacrilège. En second lieu, cela me gêne dans mes sentiments.

 

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La lumière qui s’éteint

 

642 Apr

 

Dans La lumière qui s’éteint, le lecteur trouve matière à émotions fortes : l’amour, la guerre, la mort y sont évoqués sur un fond d’exotisme qui plaît aux amateurs de romans d’aventures. L’imaginaire et le réel y sont habilement mêlés. Le texte a le parfum de l’expérience vécue tout en faisant la part belle aux espérances irréalisées et peut-être irréalisables. Et surtout, au terme d’une existence agitée qui connaît les sommets de la gloire et les abîmes du désespoir, la mort triomphe, qui seule peut apaiser les souffrances du héros, Dick Heldar. Délaissant le monde indien, Kipling situe son action en Angleterre et au Soudan et, de plus, il s’y met en scène. L’affection particulière qu’il garda toujours pour ce roman dit clairement qu’il y mit beaucoup de lui-même.

 

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Lettres du Japon

 

643 Apr

 

Kipling est déjà un nouvelliste reconnu, en 1889, lorsqu’il envoie ces esquisses japonaises au Pioneer d’Allahabad. Entre l’Inde qu’il quitte après sept ans de carrière journalistique et la fruste Amérique qu’il appréhende, cette escale au Japon est pour lui un enchantement de tous les instants. L’apesanteur qu’il ressent dans le « pays artiste […] habité par de petits enfants », déclenche en lui un état de grâce qui l’arrache à la causticité de ses premiers récits. Loin de prétendre au statut de témoignage ethnographique, ces crayonnages sur le vif sont l’œuvre d’un faux naïf qui s’adonne avec brio à l’écriture égotiste. Il est accompagné dans ses pérégrinations par un « professeur-photographe », contrepoint à la fois réel et rhétorique, qui lui permet de libérer sa plume des clichés et des lourdeurs livresques. Flânant avec un humour désinvolte entre les chromos, Kipling montre qu’un écrivain en voyage peut éviter la bêtise s’il est assez artiste pour voir sans savoir, assez humain pour aimer sans comprendre et assez modeste pour rire de son ignorance. C’eût été trahir Kipling que de réintroduire dans le texte la matière qu’il avait pris soin d’écarter. Seuls de brefs rappels historiques, accompagnés de commentaires littéraires ou culturels, ponctuent ces lettres illustrées.

 

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Paroles de chien

 

644 Apr

 

Publié initialement en 1930, Paroles de chien est un récit raconté à la première personne par un chien appelé Bottes, un Aberdeen terrier comme celui que possédait Kipling. Contrairement aux autres animaux « anthropomorphisés » par Kipling dans ses Histoires comme ça ou dans les deux Livres de la Jungle, si le héros canin de ce livre à l’humour très anglais peut parler, il possède un vocabulaire simple et n’est pas capable de comprendre ce qu’il observe. Et c’est cette caractéristique qui fait tout le sel de cette autobiographie d’un chien, qui voit en son maître un Dieu. Bottes est le témoin privilégié de ces humains dont il partage le quotidien et les péripéties, des plus quotidiennes aux plus originales. Mais il est aussi un animal parmi les autres : ceux de son espèce d’abord, et également un renard apprivoisé et le chat Cuisine, son éternel adversaire. Avec une pointe d’ironie innocente, Kipling nous permet de voir le monde à travers les yeux de notre plus fidèle compagnon, et nous révèle une fois encore, avec ce livre qui devrait ravir plus d’un lecteur, toute la verve surprenante de son talent de narrateur. On dit souvent de son animal domestique qu’il ne lui manque que la parole. Avec Paroles de chien, Kipling a enfin réparé cette injustice.

 

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Le livre de la jungle et autres récits – Tome 1

 

645 Apr

 

 » Ces histoires ont été recueillies en tous lieux, et je les tiens de toutes sortes de gens, des prêtres de la Chubara, d’Ala Yar le graveur et de Jiwun Singh le charpentier, de gens sans nom à bord des bateaux et des trains autour du monde, de femmes filant devant leurs demeures au crépuscule, d’officiers et de gentlemen à cette heure morts et enterrés ; et un petit nombre, mais celles-là sont de loin les meilleures, c’est mon père qui me les a transmises…  » Aux amis de Mowgli et de Kim, aux lecteurs des chefs-d’oeuvre rassemblés ici de dire si, pour trouver leur coeur, Kipling s’est adressé à eux comme à des enfants et comme s’il était un pauvre, ainsi que le lui conseillait le saint homme borgne rencontré dans la cour du monastère de la Chubara, dans le nord de l’Inde.  » Parle-leur d’abord de choses que toi et eux vous avez ensemble. Ainsi leur savoir remédiera à tes imperfections. Parle-leur ensuite de ce que toi seul as vu, puis de ce que tu as entendu dire, et puisque ce sont des enfants, parle-leur batailles et rois, chevaux, diables, éléphants et anges, mais n’omets pas de leur parler d’amour et de choses semblables. Toute la terre est pleine d’histoires pour celui qui écoute le pauvre et ne le chasse pas de son seuil. « 

 

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Oeuvres de Rudyard Kipling – Tome 2

 

646 Apr

 

L’odeur de l’Inde,  » un relent de musc, un arôme de santal et une exhalaison un peu écoeurante d’essence de jasmin « , imprègne la moitié, au moins, de l’oeuvre de Kipling et, sans conteste, la meilleure moitié. Elle flotte à chaque page de Kim, elle emplit le plus grand nombre de ses recueils de nouvelles, Histoires en noir et blanc, où se trouvent les plus beaux contes hindous, Au hasard de la vie, Sous les cèdres de l’Himalaya, Le Rickshaw fantôme, La Cité de l’épouvantable nuit, et aussi les deux Livres de la jungle. Il aime l’Inde pour son grouillement de peuples différents, pour le tumulte de ses rues et de ses bazars, pour sa grandeur et sa familiarité, pour ses secrets et pour toutes les possibilités qu’elle recèle. Comme les rues de Londres durent lui paraître grises et tristes après le joyeux vacarme du bazar, où tous les dialectes de la péninsule se croisent, parmi l’odeur des confiseries et des tapis, des cuirs, des fruits et des parfums ! Un autre se serait laissé éblouir, peut©être, par le ruissellement d’images, de couleurs, de parfums, par toutes les séductions que l’Inde propose à l’artiste. Il aurait poursuivi le jeu des mirages et fini par créer un Orient conventionnel, une Asie de bazar et de pacotille. Kipling, lui, a aimé l’Inde en poète, mais il ne s’est jamais laissé duper par elle. Il a mangé le fruit, sans aller jusqu’au poison, et il n’a jamais perdu sa lucidité d’obsevation, son sens critique.

 

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Oeuvres de Rudyard Kipling – Tome 3

 

647 Apr

 

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La Pléiade

 

648 Apr

 

—> Rudyard Kipling dans la Pléiade

 

 

 

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