Maisons d écrivains

Joe Bousquet

216 Apr

 

 Les livres de Joe Bousquet chez Amazon

 

 

Lettre à Poisson d’or

 

217 Apr

 

En 1937, Joë Bousquet rencontre Poisson d’Or dans un salon. Elle fête ses vingt et un ans. Lui en a quarante. Une balle, pendant la guerre, l’a laissé paralysé. Il lui écrit. En avril 1950, Poisson d’Or se marie. À l’automne suivant, Joë Bousquet meurt. Durant douze ans, cet homme aura écrit à son étoile un immense chant d’amour et une leçon d’existence qui sont de toute beauté.

 

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La connaissance du soir

 

218 Apr

 

Recueil de poèmes :

Nul amour n’aura chanté 
Sans mourir de son murmure
Qu’on n’est plus d’avoir été
Le frisson de ce qui dure

——

La nuit tous les pas se mêlent
Ce qui nous mène est perdu
L’air est bleu de tourterelles
Le ciel le vent se sont tus
Et pareil à la colombe
Qui meurt sans toucher le sol

 

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Traduit du silence

 

219 Apr

 

Joë Bousquet, blessé le 27 mai 1918 au combat à Vailly, n’a pas quitté le lit où le tinrent ses blessures, jusqu’en 1950.Voici le livre de ses cahiers, son journal intime ou plutôt le long poème de sa vie intérieure. « Je suis dans un conte que mes semblables prennent pour la vie. » Voici ces pages accolées au fil du temps, ces mots jetés l’un devant l’autre qui tendent à un but inaccessible : « Pour traduire le silence, il faut vivre au-delà de son propre silence, entendre et retenir toutes les voix qui se taisent en nous. »

 

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Lettres à une jeune fille

 

220 Apr

 

Blessé en 1918 par une balle allemande, le poète Joë Bousquet (1897-1950) perdit l’usage de ses membres inférieurs et resta alité le reste de sa vie, à Carcassonne, dans une chambre dont les volets étaient éternellement clos. C’est là, en janvier 1946, alors qu’il était reclus depuis vingt-huit ans, qu’il fit la connaissance d’une jeune étudiante prénommée Linette – qui le troubla par son charme, son intelligence, sa fraîcheur. Pendant quatre années, il aima la rencontrer, lui parler et, surtout, lui écrire des lettres admirables qui étaient restées inédites jusqu’à ce jour. A Linette, Joë Bousquet veut tout enseigner, tout transmettre. Et lui apprendre, lui le paralytique, l’immobile « momie », que la vie est immense, ainsi que la littérature et l’amour. D’où la charge poétique exceptionnelle de cette correspondance qui révèle bien des aspects méconnus de l’auteur de Lettres à Poisson d’or.

 

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Le cahier noir

 

221 Apr

 

Touché par une balle allemande à la colonne vertébrale le 27 mai 1918, à vingt-et-un ans, Joë Bousquet va rester paralysé de la ceinture aux pieds jusqu’à sa mort en 1950. Il écrit, se fait connaître. Des peintres, des écrivains, des philosophes le visitent Eluard, Aragon, Bellmer, Gide, Valéry, Alquié, Jean Paulhan, Dubuffet… Naturellement, il attire aussi beaucoup de femmes, jeunes et jolies, autour de son corps infirme. Des lettres passionnées s’échangent, où parfois Joë Bousquet laisse passer l’expression de la violence sexuelle qui l’habite. Que se disent-ils, que font-ils quand ils se voient ? Que se passe-t-il exactement au cours de ces rencontres ? Nous n’en savons rien. Mais  » le Cahier noir  » qu’il gardait secret, enfin publié 39 ans après la mort de Bousquet, met en scène une suite de tableaux haletants et brûlants que l’on n’oubliera plus.

Le manuscrit original du Cahier noir consistait en deux cahiers à petit quadrillage, composés de fragments de longueurs inégales, de lecture difficile et souvent brusquement interrompus. Ainsi nommé de la façon dont l’auteur même le désignait, ce Cahier noir, dernier texte inédit de l’auteur, a été transcrit et ordonné assez récemment, grâce au travail de Christine Michel pour le compte des éditions Albin Michel qui entreprirent la publication des oeuvres de Bousquet. Le Cahier noir nous livre une chronique érotique étrange particulièrement répétitive, composée de fantasmes érotiques brûlants. Ressassement obssesionnel de scènes où se mêlent voyeurisme, sadisme, rites pervers et sodomites, blancheur des chairs féminines, croupes illuminées… où chaque personnage féminin cache « un violent désir d’être envahie par le sentiment de sa chair ». Texte fantasmatique entre tous – l’auteur est resté paralysé toute sa vie -, Le Cahier noir pourrait être qualifié de texte visionnaire sur l’amour, halluciné et chimérique. « Tu es celle que je crée dans la solitude éternelle de mon âme revenue de ce monde » écrit Bousquet. Et dans cette phrase s’inscrit Le Cahier noir.

 

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Le meneur de lune

 

222 Apr

Ecrivain majeur du XXe siècle, Joël Bousquet est né en 1897. Après des études à Carcassonne, il mène la vie dissolue des jeunes bourgeois de son époque, puis se résigne à préparer l’École des hautes études commerciales. Mais voici qu’éclate la Première Guerre mondiale. Blessé à la colonne vertébrale, Joël Bousquet vivra désormais dans sa chambre aux volets clos. Là, durant trente-deux ans, il se consacre à l’art d’écrire. Le Meneur de lune, le seul portrait de lui, disait-il, qui fût ressemblant, nous permet de redécouvrir une figure singulière de la littérature française, auteur d’une œuvre romanesque, poétique et érotique foisonnante, dont le célèbre Cahier noir.

 

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Le médisant par bonté

 

223 Apr

 

Le Médisant par bonté, publié en 1945, marque un tournant dans l’esthétique et l’œuvre romanesques de Joë Bousquet. C’est une peinture acérée des faits et des gens de Carqueyrolles (Carcassonne) : médecins, magistrats, bourgeoisie de la vigne, aristocratie, femmes, maris, célibataires, avares, prodigues…

 

—> Le Médisant par bonté: Histoires d’avares, de fols, de peulucres, de pouillacres, contarailles et contaraignes complétées par une note de Frérot sur la médisance chez Amazon

 

Un amour couleur de thé

 

223 Apr

 

« Il serait beau qu’un amour léger, changeant, couleur de thé, un amour éphémère et fou comme le tien, fût le dernier éclat de ma vie et j’aimerais reconnaître en lui le voile où se déroberait à mes yeux la face attendue de ma mort. Car tu sais bien qu’on meurt, ma chérie, que de tant d’amour, et de toutes ces larmes, il ne reste rien, pas même un souvenir. J’aspire à cet oubli comme à la plus belle récompense. Dans mon nuage de fumée, abruti comme je le suis à cette heure avancée, après tant d’émotions, je te dis dans le plus sincère élan de gratitude et de foi : Que tu es vivante, vivante ; agile comme la flamme. »

 

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Les capitales

 

225 Apr

 

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